Des chasseurs découvrent un cadavre en Haute-Vienne !
Le 28 avril dernier, un octogénaire a disparu dans les environs de Limoges. Des recherches ont été menées, mais sans succès. Cependant, six mois plus tard, des chasseurs ont découvert ses restes, apportant une réponse à une famille qui vivait un drame en ne sachant pas ce qui était arrivé à leur proche.
Les médias ont tendance à donner une image négative des chasseurs, mais cette histoire mérite un reportage pour montrer une autre image de ces derniers. Les chasseurs sont souvent les premiers à retrouver des personnes disparues en raison de leur connaissance du terrain et de leur capacité à explorer des zones reculées. Dans ce cas particulier, les trois amis chasseurs ont expliqué que la disparition s’était produite hors saison de chasse et que personne ne se promenait dans cette zone, ce qui explique pourquoi il a fallu attendre près de six mois pour découvrir les restes de l’octogénaire.
Le 28 avril dernier, Richard Iyasawmy, âgé de 84 ans, a disparu, laissant sa famille dans un immense chagrin. Des recherches ont été menées, mais elles sont restées sans réponse jusqu’à ce que trois chasseurs de la chasse privée de Rilhac Rancon découvrent les restes de l’octogénaire. Le 5 octobre, les chasseurs étaient en train de participer à une battue pour la chasse aux gros gibiers dans une zone boisée très épaisse où ils n’étaient encore jamais allés. C’est alors qu’ils ont remarqué un blouson bleu dans les ronces, ce qui a attiré leur attention. En s’approchant, ils ont fait la macabre découverte.
Les chasseurs ont immédiatement prévenu la gendarmerie, mais il a fallu plusieurs semaines pour que les enquêteurs puissent identifier le corps et faire leur enquête. Ce n’est qu’après que l’affaire a été rendue publique.
Pour les trois chasseurs, cette découverte a permis de fournir des réponses à la famille et d’aider les proches du disparu à faire leur deuil. Il est important de souligner que les chasseurs sont souvent les premiers à retrouver des personnes disparues en raison de leur connaissance du terrain et de leur capacité à explorer des zones reculées. Les médias devraient donner une image plus positive de ces personnes souvent mal comprises.
Nous sommes un média indépendant. Soutenez-nous en nous ajoutant à vos favoris Google Actualités :