Un mésaventure retarde sa participation à l’ouverture de la saison de chasse. Un essaimage de laisse, un setter trop enthousiaste et voilà Philippe Justeau, avec une double entorse à la cheville. Mais il ne se laisse pas abattre. En tant que président de Chasseurs d’Anjou, il affronte avec optimisme la réalité de la chasse.
Accompagnez-nous dans ce voyage à travers les défis et les espoirs d’une nouvelle saison pour les chasseurs de l’Anjou. Découvrez comment ils essaient d’enrayer la diminution constante du nombre des chasseurs et comment ils se tournent vers la nouvelle génération pour préserver leur tradition.
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Philippe Justeau : Un chasseur résilient
Après une chute qui l’a empêché de participer à l’ouverture générale du 17 septembre, Philippe Justeau, président de Chasseurs d’Anjou, reste inébranlablement optimiste. Il a subi une entorse à la cheville suite à une mésaventure inhabituelle : un setter excité ayant entraîné une chute. Bien que cette histoire puisse prêter à sourire, surtout pour les écologistes, elle n’a en rien affecté l’enthousiasme de M. Justeau. Il est plus prêt que jamais à relever les défis s’annonçant pour la nouvelle saison de chasse.
L’incident imprévu
Le jour de l’ouverture de la chasse, M. Justeau avait l’intention d’y participer. Il entretenait de grandes attentes pour cette journée, mais le destin en avait décidé autrement. Au cours d’une promenade, son setter s’est soudain excité. Dans la confusion, M. Justeau a trébuché et est tombé, entraînant une double entorse à la cheville. Cela lui a effectivement fait manquer l’événement tant attendu, mais il en a souri et s’est promis que cela ne ternirait pas son plaisir de chasser.
Un déclin préoccupant des permis de chasse validés
La chasse a longtemps été une tradition importante dans le Maine-et-Loire. Il y a encore trente ans, 20 000 personnes s’aventuraient dans la campagne avec leurs fusils chaque automne et hiver. Cependant, comme dans beaucoup d’autres domaines, le nombre de chasseurs a diminué significativement par les années.
Les statistiques révélatrices
Cette année, ils ne sont plus que 12 430 à avoir validé leur permis de chasse, comparativement à 13 662 la saison précédente. Bien que ce chiffre puisse encore évoluer, il annonce une baisse d’environ 2% pour cette année. Même si la situation est loin d’être idéale, M. Justeau préfère rester positive. En effet, il souligne qu’ils ont réussi à ralentir le rythme de la baisse catastrophique de ces dernières années. Il est également très enthousiaste à l’idée d’accueillir de nouveaux venus dans la communauté, en particulier des jeunes filles.
Grand gibier : Un sujet épineux
Le gibier est une partie intégrante de la chasse dans le Maine-et-Loire. Cependant, une situation critique se profile pour le grand gibier, même si les détails restent à préciser.
Une attente pesante
Il est évident pour tout chasseur expérimenté que le grand gibier est essentiel à la chasse. Cependant, en raison de divers facteurs, affronter le grand gibier est sur le point de devenir un défi majeur. Néanmoins, Philippe Justeau ne se laisse pas décourager et reste déterminé à traverser cette vague avec la même assurance qu’il a montrée jusque-là.
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